Le Groupe de Reflexion pour la Paix en Casamance (GRPC) à travers un communiqué de presse parvenu à PressAfrik a réitéré son invitation au dialogue et au retour rapide de la paix en Casamance.
En effet, depuis quelques semaine, cette localité est marquée par une opération de l’armée nationale contre les bases du Mouvement des Forces Démocratiques de la Casamance (MFDC) commandées par Salif Sadio. « Le Groupe de Réflexion pour la Paix en Casamance (GRPC) regrette la rupture de l’accalmie qui était observée depuis une dizaine d’années, et invite à un retour rapide du dialogue et des concertations pour aboutir à une paix définitive dans la région », annonce la note.
Selon le communiqué, le conflit en Casamance « n’a que trop duré, et n’a pu que créer le trouble et la désolation depuis 40 ans dans cette partie sud du Sénégal ». Par ailleurs, « les populations locales en souffrent énormément et sont gagnées par la lassitude. L’opinion nationale du Sénégal en a assez de ce cycle interminable de violence. Sur le terrain, le spectacle désolant de ces personnes déplacées et réfugiées, de ces villages abandonnés, de ces écoles fermées, etc. doit cesser pour que les retours dans les foyers abandonnés soient envisagés».
En attendant, le GRPC demande à « l’Etat du Sénégal, aux Etats voisins de la Gambie et de la Guinée Bissau, à la société civile et aux organismes comme la Croix Rouge à fournir l’assistance nécessaire à ces populations en détresse », lit-on sur le document.
Toutefois, il soutient que face aux « activités illicites de coupe de bois et de trafics de drogue », l’armée nationale et les forces de sécurité sont en droit et en devoir de mettre fin à ces pratiques « nuisibles » pour la stabilité de la Casamance, de son économie et de son environnement.
Le GRPC exprime son vœu selon lequel « les opérations en cours aident à accélérer le processus de paix afin que rapidement un dénouement pacifique définitif soit trouvé à ce conflit fratricide ».
En effet, depuis quelques semaine, cette localité est marquée par une opération de l’armée nationale contre les bases du Mouvement des Forces Démocratiques de la Casamance (MFDC) commandées par Salif Sadio. « Le Groupe de Réflexion pour la Paix en Casamance (GRPC) regrette la rupture de l’accalmie qui était observée depuis une dizaine d’années, et invite à un retour rapide du dialogue et des concertations pour aboutir à une paix définitive dans la région », annonce la note.
Selon le communiqué, le conflit en Casamance « n’a que trop duré, et n’a pu que créer le trouble et la désolation depuis 40 ans dans cette partie sud du Sénégal ». Par ailleurs, « les populations locales en souffrent énormément et sont gagnées par la lassitude. L’opinion nationale du Sénégal en a assez de ce cycle interminable de violence. Sur le terrain, le spectacle désolant de ces personnes déplacées et réfugiées, de ces villages abandonnés, de ces écoles fermées, etc. doit cesser pour que les retours dans les foyers abandonnés soient envisagés».
En attendant, le GRPC demande à « l’Etat du Sénégal, aux Etats voisins de la Gambie et de la Guinée Bissau, à la société civile et aux organismes comme la Croix Rouge à fournir l’assistance nécessaire à ces populations en détresse », lit-on sur le document.
Toutefois, il soutient que face aux « activités illicites de coupe de bois et de trafics de drogue », l’armée nationale et les forces de sécurité sont en droit et en devoir de mettre fin à ces pratiques « nuisibles » pour la stabilité de la Casamance, de son économie et de son environnement.
Le GRPC exprime son vœu selon lequel « les opérations en cours aident à accélérer le processus de paix afin que rapidement un dénouement pacifique définitif soit trouvé à ce conflit fratricide ».
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